C'est le lendemain qu' Anahita prit sa terrible décision. Lorsqu'elle vit sa pétillante Aida, murée dans un triste silence attendant que son père ne lui pose la question qui l'autoriser en quelque-chose à parler. Le père Alors Aida, ce conte du rat, il t'as plu ? Tu l'as bien compris au moins. La grand-mère vit bien que sa petite étouffé l'étincelle de son cœur pour se conformer aux volonté de son père comme elle devrait le faire pour tous les hommes jusqu'à la fin de sa vie. Aida Oui, oui, ne t'inquiète pas j'ai tout bien compris... mais il fait un peu peur quand même. L'homme n'était qu'à moitié satisfait par la bonne réponse de sa fille qui comportait encore un « mais » de rébellion. Alors il lui répondis sèchement pour bien lui faire comprendre. Le père Tant mieux si tu as eu peur, c'est pour cela qu'il a été écrit, et pour les petites filles qui ne seraient pas sage. A cet instant d'oppression une sourde colère monta chez Anahita : elle l'aurait bien giflé son fils. Mais elle pouvait être emprisonnée pour cela. De toute façon cela ne servirait à rien et Anahita était suffisamment sage pour apprivoiser le dragon de sa colère à force d'en avoir eu l'occasion. Non elle avait une autre idée bien plus maline quoique aussi douloureuse. Et si le dragon de sa colère n'était pas mort en elle, c'était juste pour Aida. Annahita aurait été seule, elle aurait continuait à faire le dos rond depuis le temps cela ne demandait même plus d'effort. Et à son age cela ne valait plus le coup les hommes lui avait presque déjà pris toute sa vie. Oui mais pas celle de sa petite Aida. Annahita s'était mise en tête de la délivrer du sort fatale qui s'acharne sur les femmes depuis des générations et pour cela il n'y avait pas trente six mille solutions.